Le promeneur de chèvres
Francine Ruel
ENTREVUE AVEC L'AUTEURE
Pouvez-vous nous dire quelques mots sur votre nouveau roman, Le promeneur de chèvres ?
C’est un roman qui se veut gourmand, ludique et lumineux. Qui parle de la passation des savoirs, du travail bien fait, de littérature également. Un vieil homme retrouve son petit-fils qui a tout perdu à cause de la pandémie. Il l’emmène avec lui sur sa petite ferme des Cantons-de-l’Est pour qu’il s’occupe de ses chèvres.
Vous avez une belle et grande carrière. Où puisez-vous toute cette inspiration ?
Dans la vie de tous les jours. L’humain m’intéresse au plus haut point. Surtout ceux qui passent inaperçus. J’aime bien leur prendre la main et les présenter aux lecteurs.
Avez-vous un rituel particulier lorsque vous vous mettez à l’écriture d’un livre ?
D’abord une grande recherche. Puis, je m’assois à ma table tous les jours. C’est inscrit à mon agenda comme la chose la plus importante à faire. C’est une manière de donner rendez-vous à mes personnages et à mon histoire. Les fêtes de fin d’année approchent.
Avez-vous des traditions particulières à Noël ?
Pas de sapin dans la maison, mais dehors. Avec trois chats à la maison on comprend rapidement qu’il vaut mieux éviter la chose. Par contre beaucoup de lumière partout dans la maison, des odeurs de mets qui cuisent lentement, des bulles et des amis.
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Le promeneur de chèvres
Francine Ruel